[LULU-365] «Ce n’est qu’en les pinçant…», dit la tante Chinamin, ancienne fille facile aux seins pulpeux, qui, suppliée par son neveu – ce véritable extra-terrestre des seins au désir insatiable – se voit obligée de lui permettre une paizuri menant à l’éjaculation, car elle adore les jeunes bites dures.